Domaine public routier : pour un espace partagé et sécurisé

Au-delà du partage et de l’accessibilité, l’aménagement du domaine public routier vise également à améliorer le cadre de vie des riverains et la sécurité des usagers et des habitant·es.

Outre les travaux d’urgence pour réparer un trou dans la chaussée ou l’ampoule d’un candélabre, les interventions sur la voirie sont le fruit d’un long processus décisionnel et organisationnel et d’une étroite collaboration entre les intervenants. Les aménagements sont le plus souvent réalisés dans le cadre d’opérations plus globales, réfléchis sur le plus long terme ou dans le cadre de projets structurants.

Pour exemple, le développement des grands axes cyclables est établi dans le cadre du schéma directeur cyclable du Sicoval, qui sera prochainement complété par l’étude Mobilités initiée par la commune (diagnostic en cours en vue d’établir un plan d’actions) : celle-ci répond d’ailleurs aux enjeux de l’aménagement des voies urbaines dont les usagers sont à la fois les piétons, les cycles, les personnes à mobilité réduite, les automobilistes et les transports en commun.

Pour que la cohabitation entre les différents usages fonctionne, les aménagements entrepris sur la commune portent autour de la création de cheminements piétons, la réfection des trottoirs, la création de bandes ou pistes cyclables, la signalisation, l’éclairage public, la gestion des flux de circulation et du stationnement.

Côté sécurité, des zones 20 et 30 km/h, dites zones de circulation apaisée, sont créées, pour favoriser un usage plus raisonné de la voiture au profit des modes de déplacements alternatifs et de l’amélioration du cadre vie.